Bonjour à tous
Bienvenue sur ma page d’actualité,
Vous pourrez y lire mes actualités sportives, en tant que sportif et coach
on loansonlineusa.net!
À bientôt,
Christophe.
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Christophe.
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Une fois encore j’étais au départ de l’Etape du Tour qui avait lieu cette année dans les Pyrénées entre Pau et Hautacam (148km pour 3500m de dénivellé).
L’Etape du Tour est devenu un rendez-vous majeur de la saison cyclosport, et dimanche, nous étions plus de 13000 à nous mesurer à cette étape du Tour de France 2014.
Petit retour en arrière chronologique…
Dimanche 6 juillet / J -14 Avec quelques sportifs WTS (Rick, Bernard et Will), je décide de faire une dernière longue sortie d’entraînement à 2 semaines de l’objectif. La séance dure finalement 6h30 pour 140km avec 2 cols majeurs : Turini et Braus. Cela se passe bien même si nous avons eu très chaud à la fin. http://www.strava.com/activities/162406866
Lundi 14 juillet / J -6 Je n’ai pas roulé depuis 3 jours et les jambes sont très lourdes. Pas bon signe. Je pars pour une séance d’endurance de base. Objectif : faire travailler les fibres lentes sans générer de fatigue. Après 2h de basse intensité, je sens que cela va mieux. http://www.strava.com/activities/165748067
Mardi 15 juillet / J -5 Un peu à court d’entraînement intensif, je décide d’aller monter le col de Vence. Je sens très vite que j’ai les jambes ! Il y a un fond de fatigue mais la puissance est là. Je décide de me tester dans mon col fétiche. Bilan 33’30’’ ce qui est pas mal. Après téléchargement des données sur Strava, j’ai le plaisir de battre 103 records personnels sur les segments. C’est un signe que je suis en forme. Rassurant. Maintenant place à la récupération en espérant surcompenser dimanche. http://www.strava.com/activities/166212275
Mercredi 16 juillet / J -4
Repos
Jeudi 17 juillet / J -3 Les jambes sont encore lourdes mais je décide d’aller poster du courrier à vélo histoire de « faire circuler le sang ». Ces 20 minutes de vélo me font du bien !
Vendredi 18 juillet / J -2 Je prends la route avec Bernard et Anne-Marie (mes beaux-parents). La route est longue entre Nice et Pau, mais le fait d’alterner le volant permet de se reposer ou de faire autre chose. J’en profite pour terminer un programme d’entraînement pour la Haute Route, et pour faire un point sur les candidatures pour le réseau WTS. Nous arrivons en fin d’après-midi au gîte le Bourdalat, à Ouzous au pied d’Hautacam. Pas le temps de rouler. Tant pis, nous irons marcher après le dîner.
Samedi 19 juillet / J -1 Grosse journée car il faut faire la séance d’activation, récupérer les dossards, rencontrer quelques partenaires et autres sportifs sur le village et surtout SE REPOSER !
A 9h, nous partons rouler dans la magnifique vallée du Gave de Pau. Après une trentaine minutes d’échauffement en zone i2, nous décidons de reconnaître le début de l’ascension d’Hautacam. C’est une montée typiquement pyrénéenne avec de nombreux changements de pente. Parfois c’est plat, souvent c’est très raide (10-12%) ! http://www.strava.com/activities/167850791
A 11h, nous partons pour Pau récupérer les dossard. Je profite de cette occasion pour rencontrer Patrick Dupuis du portail de suivi de l’entraînement Velobook, le blogueur Jean-Pierre Run Run, Jo Metge de Garmin, puis mes amis de la Côte d’Azur qui m’ont offerts le dossard.
Le soir, je mange avec deux sportifs WTS : Joe de Paris, et Maurice qui arrive du Liban. Le dîner sera l’occasion de donner les derniers conseils. Au menu : potage, saumon et riz et nougat glacé, le tout arrosé de San Pellegrino. Merci Joe pour le repas 😉
Dimanche 20 juillet 2014
Le jour J est enfin là.
4h50 : le réveil sonne. Le ciel est dégagé. Le déluge attendu ne semble pas être au rendez-vous. Ouf ! 5h : J’avale mon thé, mes galettes de riz, ma spiruline, puis un expresso et c’est parti.5h30 : Nous récupérons Joe et Maurice, puis en route pour Pau qui est à une heure de route. Il y a déjà pas mal de véhicule qui convergent vers le départ. 13000 participants, cela fait du monde !
7h10 : nous sommes dans le sas n°3 et il fait plutôt bon. Je quitte l’imperméable et les manchettes car je sens que je vais avoir chaud.
7h24 : le départ de notre vague est donné. Sous l’arche, je sers la main de François Bayrou, maire de Pau. Marrant. Cela part assez vite mais je contrôle ma cadence pour ne pas me mettre dans le rouge.
8h30 : Je n’ai pas trouvé de faux-plat descendant propice pour satisfaire un besoin naturel « comme les pros ». Je suis donc obligé de faire une pause car l’envie est trop forte. C’est bon signe, je suis bien hydraté.
10h30 : En arrivant à Bagnères de Bigorre, je rattrape Jean-Pierre Run Run. On discute un moment puis je continue à mon rythme. Le ciel noircit. Je sens qu’on va en prendre une bonne.
A Sainte Marie Campan, il se met à pleuvoir à l’instant où je passe devant la forge, où Eugène Christophe répara sa fourche un siècle plus tôt. C’est émouvant… Je me reconcentre car c’est parti pour les 17km d’ascension du Tourmalet.
11h30 : J’arrive à la Mongie, il fait 9°C et il pleut toujours. On n’y voit rien. Au ravitaillement, je gobe une banane et je prends deux barres puis je décide de me changer pour affronter la partie finale puis la descente. Je mets une casquette cycliste sèche sous le casque, mes manchettes, des gants en latex sous mes mitaines et enfin mon imper.Je repars frigorifié mais a peu près sec. Je monte les 5 derniers km « à bloc » pour me réchauffer. Au sommet, la pluie est battante et il fait 7°C. Je bascule dans le brouillard dans la descente vertigineuse. C’est éprouvant car je grelotte rapidement. En outre, le freinage est précaire avec les jantes carbones CLX40 de mon Specialized. Je tremble tellement que j’ai du mal à rouler droit. J’hallucine de voir que certains descendent en simple maillot court… à tombeau couvert !
12h15: Finalement, j’arrive au pied d’Hautacam, presque anesthésié par le froid. Heureusement, il ne pleut plus et le soleil perce un peu. Je me réchauffe rapidement et finalement les jambes tournent bien. Je me mets à doubler les coureurs sans interruption. Cela motive.
13h30 : je passe la ligne d’arrivée et il se remet à pleuvoir. C’est fait ! Je termine en 6h39 à la 1491ème place. Je savoure mon gobelet de coca puis je « cale » pour éviter l’orage.
Au final, ma principale satisfaction est d’avoir réussi à surmonter le froid et à terminer cette Etape du Tour rendue difficile par les conditions météorologiques.
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Au final, j’ai aimé
Je n’ai pas aimé
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Du côté des sportifs WTS
Pascal Billo termine 2549ème en 7h07
Bernard Livet termine 5729ème en 8h27
Patrice Sanso termine 7210ème en 9h12
Maurice Massaad termine 7683ème en 9h30
Joe Ghazal s’est arrêté au pied d’Hautacam afin de ne pas entamer son capital “énergie” en vue du triathlon longue distance de l’Alpe d’Huez.
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Remerciements
Au comité régional de Tourisme Côte d’Azur (Manuel Harbreteau) qui nous a offert les dossards. À Neway Nice – Concept Store Specialized qui m’a prêté un superbe Venge équipé de roue carbone CLX40. À Anne-Marie qui nous a fait une assistance au top !
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Diaporama
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Article mis à jour le 18 mai 2022
Pour progresser et développer son potentiel, le sportif doit habituer son organisme à subir des contraintes physiques, techniques ou mentales, progressivement plus dures. Ce processus d’adaptation est directement lié au phénomène de “surcompensation”. Sous ce terme un peu mystérieux, se cache en fait un processus physiologique tout à fait naturel, qui permet à l’être humain de s’adapter à de nouvelles situations. En effet, quel que soit le niveau de pratique ou la discipline, les sportifs utilisent la surcompensation pour progresser. Pour cela, il est nécessaire de soumettre régulièrement l’organisme à des efforts inhabituels, à l’entraînement ou en compétition. Cet enchainement de stimulations engendre une progression séance après séance, cycle après cycle, années après années…
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Par Jean-Baptiste WIROTH, PhD
Docteur en Physiologie de l’Exercice
Fondateur du réseau de coach WTS
Le phénomène de surcompensation repose sur des principes de base de la préparation physique : la surcharge, et l’alternance entrainement/récupération.
Il se résume à 3 phases :
– Phase 1 : Réalisation d’un effort important (séance longue, séance d’entraînement par intervalles, compétition)
– Phase 2 : À l’issue de cet effort, le sportif entre dans la phase de récupération. La fatigue engendrée par la séance, induit une phase de désadaptation transitoire, qui sera d’autant plus profonde que l’effort aura été conséquent.
– Phase 3 : Après un certain temps (très variable) l’organisme récupère ses capacités initiales (compensation), puis les dépasse (surcompensation). C’est au cours de cette phase qu’il faut positionner une nouvelle séance d’entraînement.
La durée des phases 2 et 3 dépend de l’intensité et de la durée de la séance d’entraînement. Plus celle-ci est intense et longue, plus il faudra de temps à l’organisme pour récupérer.
Le processus de surcompensation s’exprime facilement au niveau des réserves énergétiques (reconstitution du glycogène), mais aussi au niveau de la force musculaire, du mental…etc. Il se résume par la célèbre phrase de Nietzche « Tout ce qui ne tue pas, rend plus fort » (Le Crépuscule des idoles 1888).
► Un effort unique : Vous réalisez une séance particulièrement longue, puis après 3 jours de récupération vous serez capable de réaliser le même effort avec une fatigue moindre.
► Un cycle d’entraînement : Après 3 semaines d’entraînement régulier et soutenu finalisé par une semaine de récupération active, votre organisme va s’adapter et vous débuterez probablement le cycle suivant en grande forme.
► Une ou plusieurs années d’entraînement « poussé » : Vous avez une pratique sportive très intense pendant 5 ou 6 ans, puis vous arrêtez de vous entraîner pendant 6 mois. Après reprise de l’entraînement vous avez un niveau supérieur à celui précédent l’arrêt. De nombreux sportifs de haut-niveau vivent cela de manière involontaire suite à une blessure.
► Pour optimiser le phénomène de surcompensation et progresser rapidement, il faut gérer au mieux les principes de surcharge et d’alternance entraînement/récupération.
► En effet, la surcompensation ne sera possible que si il y a eu fatigue «significative», donc une surcharge. Si vous ne vous contentez de faire que ce que vous arrivez facilement à faire, vous ne progresserez pas.
► En outre, la période de récupération qui fait suite à la surcharge est indispensable, pour permettre surcompensation et la mise en place des processus adaptatifs. La durée de la période de récupération est LE facteur difficile à estimer, car il dépend de très nombreux éléments. En effet, l’importance de la surcharge, l’intensité des efforts réalisés, le niveau d’entraînement du sportif, la période de l’année, les moyens de récupération utilisés (nutrition, sommeil, massage…) …vont influer sur la durée optimale de la récupération.
→ 24 à 48h : pour surcompenser d’une séance de 2h en endurance de base
→ 3 à 6 jours : pour surcompenser d’une compétition de vélo de 100 km
→ 20 à 30 jours : pour surcompenser d’une longue cyclosportive en montagne (Etape du Tour, Marmotte…)
→ 3 à 6 jours : pour surcompenser d’une séance de VMA
→ 2 à 3 semaines : pour surcompenser d’un 10 kms
→ 3 à 6 mois : pour surcompenser d’un marathon couru à fond, d’un Ironman, ou d’une course d’ultra.
Très à la mode dans les années 80, le régime dissocié scandinave avait la réputation d’être l’arme absolue pour constituer des stocks maximaux de glycogène avant une compétition d’endurance. Ce régime, basé sur le principe de surcompensation, consistait à effectuer un effort épuisant les stocks énergétique (glycogène) à 7 jours avant l’épreuve, puis à se reposer les jours suivant tout en s’alimentant de manière spécifique :
► Phase 1 : de j-7 à j-4. Adoption d’une alimentation très pauvre en glucides, mais riches en lipides et en protides pour finir d’épuiser les réserves glycogéniques.
► Phase 2 : de j-3 à j0. Consommation d’une alimentation hyperglucidique (10 g de glucides par kg de poids corporel et par jour) pour restaurer les réserves à un niveau supérieur.
Ce régime s’avérant fastidieux à observer, des variantes plus souples du RDS furent proposées par la suite (suppression de la 1ère phase notamment). Aujourd’hui de récentes études semblent démontrer que chez un sportif normalement entraîné, l’adoption d’un tel régime est inutile pour constituer un stock optimal de glycogène.
A l’issue du dernier entraînement digne de ce nom (à J-4), opter pour une ration alimentaire enrichie en glucide (65 % glucides, 20 % lipides, 15 % protides), tout en observant un repos total ou relatif (récupération active).
Pour cela, on conservera un alimentation normale tout en consommant un surcroit de féculents.
Effectivement, l’allongement des durées de récupération, est le processus qui survient le plus rapidement avec le vieillissement.
Il convient donc de prendre plus de temps avant de positionner une nouvelle séance, tout en optimisant tous les aspects de la récupération (sommeil, nutrition, massages … etc).
En outre, il faut être particulièrement à l’écoute de son corps si vous souhaitez pouvoir continuer à pédaler pendant de nombreuses années.
Vous pouvez lire à ce sujet Vieillissement musculaire : continuer à courir après 50 ans
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Pour les 10 ans de l’Ironman France, la course a été arrosée !
Même si cela a compliqué la donne à vélo, cela aura permis d’éviter la fournaise qui règne habituellement sur la promenade des anglais lors du marathon.
Résultats des sportifs WTS
158ème Bastien Laugiero en 10h01 (1er Ironman)
501ème Mickaël Crouin en 10h53 (1er Ironman)
601ème Matthieu Amiehl en 11h05
613ème Julien Ternisien en 11h06 (1er Ironman)
1044ème Carlos Bardote en 11h53
1392ème Nicolas Laclias en 12h35 (1er Ironman)
1941ème Géraldine Vitteaut en 13h54
Mention spéciale à nos deux coachs, Mickaël et Géraldine qui ont fièrement représenté le réseau WTS.
Un grand bravo à tous !
NB : la préparation a déjà démarré pour quelques athlètes qui s’entraînent pour leur premier Ironman (2015).
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Ce monument du cyclisme renait cette année pour le plaisir des passionnés d’ultra puisque la distance était de 610km !
Arnaud Manzanini notre coach mental lyonnais, spécialiste de cyclisme ultra-distance termine 4ème en 19h57.
Liz Junio, entrainée par Sylvain Perreal, coach WTS à Annecy, termine 5ème en 30h12.
Bravo !
En pleine préparation pour l’Ironman France – Nice, Nicolas Laclias termine 5ème en 3h30. Nicolas est entrainé par JB Wiroth.
Cyclosportive Les Boucles de la Marne
Une petite délégation de sportifs WTS coachés par JB Wiroth, était présente sur cette classique du calendrier champenois.
Classement
– 28ème / 2h49 Marc Feddersen
– 79ème / 3h11 Richard Yarsley
– 100ème / 3h36 Bernard Livet
Piste (Inter-région nord ouest)
Brendan Hénaff, entrainé par Anthony Morvan, remporte le scratch en cadet. Bravo !
Triathlon 70.3 Aix en Provence
En se repositionnant au printemps, à 6 semaines de l’Ironman France, le triathlon d’Aix en Provence est devenu une course de préparation presque incontournable. De nombreux sportifs WTS étaient présents dont :
– 371ème / 5h08 Julien Ternisien
– 673ème / 5h33 Carlos Bardote
– 1101ème / 6h11 Géraldine Vitteaut
– 1365ème / 6h51 Joe Ghazal
Triathlon de Bintan (Indonésie)
Dirk Izzo, entraîné par Eric Gauthier, termine 7ème en 1h12 à quelques minutes de la superstar du triathlon, l’australien Chris Mac Cormack.
VTTransvésubienne
Avec une distance proche des 100km la 19ème édition de la Trans’, a tenu toutes ses promesses. Et les sportifs WTS ont été à la hauteur !Classement :
– 43ème / 8h09 Matthieu Guiguard (Team Neway Specialized)– 60ème / 8h23 Benjamin Guiguard (Team Neway Specialized)
– 82ème / 8h45 Philippe Vitteaut (Team Neway Specialized)
– 321ème / 11h24 Gérard Brun
A noter que Gérard Brun gagne en catégorie Masters 60. Chapeau !
Tous sont entrainés par JB Wiroth.
Crédit Photo Christian Retaggi.